mardi 23 février 2010

Josué 7, v 1-13

Que dit l'auteur? Un petit passage, une petite ville à attaquer, une petite entorse au règle pour se faire un bon petit pactole de côté..et c'est la cata! "L'invincible" armée Israëlienne, devant laquelle tout les peuples de la Terre promise tremblaient (cf Josué 2, v 11) se prend une raclée face à une petite ville qui semble insignifiante au point de ne pas avoir besoin de déranger toute l'armée".

Josué et les anciens d'Israël semblent avoir le bon réflexe, et va aussitôt implorer Dieu pour savoir quoi faire? Sur le coup, Josué et les anciens me font vraiment penser à une analogie avec l'église. Une petite histoire et tout le monde se met a prier, à commencer par les anciens et le pasteur : c'est bien normal, puisque ce sont les responsables...mais pas les coupables!

La réponse de Dieu est d'ailleurs cinglante et sans appel : Pourquoi venir pleurnicher devant moi alors que vous avez rompu vos engagements en pêchant, contre ce que je vous ai demandé? La force d'Israël n'est pas dans le nombre de ses soldats, mais dans la puissance de son Dieu.

Comment l'appliquer dans ma vie? Et si j'arrêtai de me lancer des fleurs quand quelque chose que j'entreprends réussi? Et si je remerciai Dieu pour cette chance, ce privilège de réaliser ce qu'il me permet de faire? Pourtant, remercier Dieu est presque mon premier réflexe quand je réussi quelque chose. Mais je ne peux m'empêcher d'être fier, même si je sais pertinemment que c'est grâce à Dieu que les projets entrepris réussissent.

Seigneur, je me suis pris déjà tellement de claques pour comprendre ce que veux dire "humilité". Pardon encore pour mon orgueil, sois patient avec mon ego et apprends moi encore aujourd'hui a compter davantage sur toi que sur mes propres forces.

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